Soumis travesti et bondagé aux mains de furies

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il y a 7 ans

Soumis travesti et bondagé aux mains de furies

Nous étions allés faire des achats avec France une amie, ce samedi matin de février en période de carnaval, et en rentrant devions passer prendre des affaires chez Martine, une de ses collègues, qui habitait une villa dans la campagne.

Vers midi, nous arrivons chez elle, elle était en train de faire des crêpes avec trois autres amies Claire, Patricia et Noémie. Elle nous dit que si nous le souhaitions elle nous invitait à déjeuner pour fêter le carnaval. Invitation acceptée avec plaisir, et nous nous retrouvons rapidement dans le salon pour prendre l'apéritif. Un punch était prêt, préparé par Noémie, une magnifique malienne, nous lui firent honneur en ce jour gris d'hiver. L'ambiance se réchauffa assez vite et Martine dit tout à coup, c'est Carnaval et nous pourrions nous déguiser, il y a de quoi dans la maison (elle est costumière pour le spectacle). L'idée fut acceptée rapidement et elle nous conduisit dans son atelier ou se trouvaient de nombreux costumes sur des penderies.

Après avoir parcouru la pièce, je fis la remarque qu'il n'y avait aucun costume d'homme.

  • C'est vrai dit Martine je n'y avais pas pensé,

France dit aussitôt en rigolant :

  • Ce n'est pas grave, je vais choisir pour toi, c'est carnaval, un homme peut se travestir en femme.

Elle me dit de sortir de la pièce,

Je vais te donner ce qu'il faut.

Je fus conduit vers une chambre et quelques instant plus tard, France entra portant une panière avec un tas de vêtements.

  • Déshabilles-toi et range tes affaires dans le placard.

Quelques instants après, j'étais en caleçon au milieu de la chambre, France me dit en riant :

  • Ton caleçon n'est pas adapté et tu ferais mieux de l'enlever en tirant sur la ceinture,

Elle ramassa mon caleçon et le posa sur une étagère du placard avant de fermer celui-ci. Avant que je ne réagisse, elle sortit de la chambre

  • Je reviens de suite,

Elle me laissa ainsi nu. Je regardais alors le contenu de la panière et découvris une longue robe, un serre taille, des bas et des chaussures à talons, tout cela de couleur noire. C'est à ce moment la que revint France en me disant

  • Je vais t'aider à t'habiller.

Je protestais en disant que j'allais être ridicule, elle me dit que de toute façon, elle avait rangé la clé du placard et que je n'avais pas le choix. Le serre taille était rigide et équipé de lacets, elle me le fit enfiler et entreprit de le lacer en serrant et en me disant qu'une femme se devait d'avoir la taille fine. Puis vinrent le tour des bas attachés aux jarretelles et je dus enfiler une petite culotte assortie. Enfin elle me passa la robe, fendue sur le coté, qu'elle ferma dans le dos et me fit mettre les chaussures qui à ma surprise qui étaient à ma taille. Elle me conduisit ensuite à la salle de bain me faisant asseoir, elle entreprit de me maquiller et me mit une perruque, comme cela tu seras une vraie femme, comme nous toutes. Après m'avoir préparé, à son tour elle alla s'habiller avec les autres et dit

  • Je viendrai te chercher quand elles seront toutes prêtes.

Je me retrouvai devant la glace et une certaine excitation me prit en me voyant ainsi, en femme brune. Je fis quelques pas pour m'habituer à marcher avec les talons, ce qui accentua mon trouble, au contact du nylon sur mes jambes.

C'est Martine qui vint me chercher, et me regarda longuement avant de prendre ma main et de me guider pour descendre l'escalier vers le salon ou se trouvaient les filles. Je fis sensation et elles ne purent s'empêcher de s'approcher et de me complimenter en me touchant négligemment, ce qui me troubla à nouveau.

France et Martine étaient vêtues comme moi de robes longues, verte pour France et rouge pour Martine. Claire portait, elle un costume de page avec un collant blanc, Claire un body et un collant noir sous une robe courte sexy avec un dessin de panthère, quant à Noémie, elle portait une robe similaire noire sur un collant entier en résille noire.

Nous reprîmes un apéritif, ce qui fit monter l'ambiance et les rires. Le ton était vif et les allusions à ma virilité parfois assez osées. Nous nous sommes enfin mis à table autour d'une petite table ronde, Martine à ma gauche, Noémie à ma droite, puis en suivant Claire, France et Patricia.

Le repas fut enjoué, le champagne ayant remplacé le punch l'ambiance ne faiblissait pas. L'exiguïté de la table facilitant les contacts au début par inadvertance du moins c'est ce que je croyais, ils étaient de plus en plus fréquents et j'avais maintenant une cuisse de chaque voisine collée à moi de façon quasi permanente. Quant à France, en face moi, je voyais que son verre aussitôt vide était rempli par l'une ou l'autre de ses voisines elle était très excitée et riait en permanence.

Au dessert, les débats étaient de plus en plus exubérants, et les sujets abordés parfois chauds. Noémie s'adressant à Martine se pencha soudain vers elle par-devant moi, posa sa main sur ma cuisse et tout en lui parlant entreprit de me caresser provoquant une vive réaction sans que je puisse réagir. Je regardai France qui ne s'aperçut de rien, riant à ses voisines, je ne savais que faire, et il me sembla que cela dura une éternité. Heureusement que j'étais assis. Je compris que ce jeu était voulu lorsque quelques instants plus tard, c'est Martine qui se pencha vers Noémie, sa main rejoignant la sienne sur mes cuisses.

Le repas se poursuivit et c'est vers quinze heures que nous nous levâmes de table, rejoignant le salon qui nous accueilla pour prendre le café. Noémie dit alors aux filles :

  • C'est bien beau, mais il faut faire la vaisselle, je propose un tirage au sort pour savoir qui s'y colle.

A la courte paille dit Martine qui s'empressa de couper quelques chalumeaux présents dans un verre. Pas d'exception dit Claire puisque Marc porte une robe, il tire aussi. Ainsi fut fait et comme le sort n'était pas de mon coté je tirais la plus courte qui me condamna à passer à la cuisine.

Noémie en tête, je fus conduit devant l'évier elle dit

  • Il va tout se salir, je vais lui chercher un tablier.

Elle revint aussitôt et dit à nouveau

  • Il risque de salir la robe, même avec le tablier, si France est d'accord, il l'enlève et mettra le tablier.

Malgré mes contestations, France défit aussitôt la fermeture éclair et je me retrouvais en sous-vêtements devant les filles. Noémie me passa alors un petit tablier de devant blanc qu'elle noua fermement dans mon dos, et me mit sur la tête un petit diadème assorti en disant :

  • Tu es belle ainsi, on dirait une vraie bonniche.

Elle compléta ma tenue par des gants de caoutchouc rose qu'elle m'aida à enfiler et dit :

  • Allez au travail, on viendra te voir de temps en temps,

Elles partirent au salon, entraînant les copines en rigolant.

La musique se fit entendre pendant que je commençais à faire la vaisselle, il y en avait pas mal. Cela faisait dix minutes que j'avais commencé lorsque Martine entra pour venir voir comment je me débrouillais. Elle s'approcha de moi par derrière, profitant que je portais un plateau plein de verres, elle me dit ne bouge pas, me saisit les tétons qu'elle pinça fortement, puis tout en tenant un entreprit de me caresser le haut des cuisses sous mon tablier de soubrette avec l'autre main. Elle s'enfuit en riant me laissant ainsi excité et frustré.

Les rires provenant du salon étaient de plus en plus forts. La porte s'ouvrit et elles arrivèrent ensemble, m'entourant et se collant à moi. France avoua qu'elles avaient un peu pitié et qu'elle m'avait porté à boire. Tout en disant cela Claire me prit par la main et me poussa vers le salon, me fit asseoir sur une chaise Louis XVI avec un dossier haut et arrondi, s'asseyant sur mes genoux face à moi en portant le verre à ma bouche. Pendant ce temps les autres se collèrent contre le fauteuil. Je sentis tout à coup des mains me saisir et me maintenir contre le dossier de la chaise pendant que d'autres mains entreprirent de m'attacher sur celle-ci. En quelques minutes, je me retrouvai solidement arrimé à elle, mains liées derrière le dossier, genoux et chevilles liés, une corde reliant les chevilles aux poignets, tirant mes jambes vers l'arrière, le haut du corps quant a lui fixé étroitement au dossier.

Je dis que c'était trop et aussitôt Martine prit un foulard pour me bâillonner ce qui réduisit mes contestations. Elles reculèrent en me regardant, puis disent qu'elles avaient imaginé un petit jeu de devinettes. Pendant qu'elle me bandait les yeux avec un autre foulard opaque, elle m'expliqua que je devrais deviner qui, et dans quel ordre, allait venir me toucher, bien sur sans parler, je devais essayer de les reconnaître, chaque erreur ferait l'objet d'un gage.

Je grognais mais n'avait pas le choix. Martine allait ouvrir un paravent devant moi et à tour de rôle chacune d'elles passerait derrière pour trois minutes, tout moyen de se faire reconnaître était possible, sauf la voix.

  • Hélas, tu ne peux pas bouger, dit-elle, dans ta position, donc fais preuve d'imagination.

Je restais ainsi un moment, puis la première arriva. Je sentis qu'elle m'enlevait le petit tablier et le diadème, elle continua par quelques caresses, puis elle tira un coté de ma culotte et un ciseau coupa, puis vint le tour de l'autre coté et d'un coup arracha le morceau de tissu mettant mon sexe à nu, et je l'entendis partir.

Cette situation commençait à m'exciter, alors qu'arriva la deuxième fille. Elle se colla contre moi, je sentis le contact d'une robe longue, c'était donc Martine ou France ? Ce qui est sur c'est qu'elle avait enfilé des gants en caoutchouc et de ses mains entreprit de me caresser, provoquant une terrible excitation qui fut visible immédiatement. Pour terminer, elle posa un baiser sur ma verge et partit.

La troisième je la reconnu lorsqu'elle me toucha, c'était Claire, grâce au contact de sa tenue de page. Elle enleva la corde qui tenait mes genoux serrés l'un à l'autre et avec celle-ci entreprit de les tirer vers l'extérieur, rendant plus accessible mon sexe et les fixa à nouveau dans cette position aux barreaux de la chaise avant de partir.

Il en restait deux à venir, qui de Patricia ou de Noémie fut la première ? Impossible de le savoir. Elle m'enleva le bâillon et colla sa bouche à la mienne pour un baiser interminable avant de reposer le bâillon encore plus serré, la deuxième se consacra à mon sexe qu'elle tritura en tous sens, avant de me poser une multitude de pinces à linge sur tout le corps, aucune partie n'étant épargnée. Hormis la douleur, l'excitation était totale, j'étais dans une situation extrême. Elle partit me laissant ainsi.

J'entendis la voix de Martine dire que puisque toutes étaient passées, elles allaient boire un verre pour me laisser le temps de la réflexion. Combien de temps suis-je resté ainsi, je ne sais pas.

J'entends du bruit, on retire le paravent puis les rires des filles. Je devais ressembler à un sapin décoré avec les pinces que je sentais partout. Martine, en enlevant seulement mon bâillon, dit :

  • mon petit Marc, c'est l'instant de vérité, tu dois dire dans quel ordre nous sommes venues, et nous ferons le bilan.

Elle me fit boire un peu et ce fut à moi de parler. Après réflexion je dis :

  • France, Martine, Claire, Patricia et enfin Noémie.

  • Bien dit-elle, mais je dois relever deux erreurs, l'ordre était moi, France, Claire, Noémie et enfin Patricia. C'est vrai que pour Claire, la tache était facile avec sa tenue. On va considérer que tu as deux fautes donc nous allons devoir t'infliger deux gages pour avoir reconnu Claire, elle va avoir le plaisir de t'enlever les pinces une à une, lentement, mais les yeux bandés. On va mettre le minuteur en marche pour deux minutes. Le jeu consiste à ce qu'il reste au moment de la sonnerie huit pinces en place. Celles qui manqueront ou qui resteront seront comptabilisées et chacune en plus ou en moins correspondront à trente minutes de bondage...

De la musique jaillit dans la pièce et je les entendis s'approcher. Claire fut amenée derrière moi, ses mains se posèrent sur mes épaules, puis la voix de France dit :

  • Tu es prête ?

  • Oui dit Claire.

Le top fut donné et les mains de Claire s'afférèrent sur moi, à tâtons. L'enlèvement des pinces fut douloureux, je ressentais à chaque retrait l'afflux de s a n g , surtout quand elle enleva les pinces se trouvant sur les seins. Tout à coup la sonnerie se déclencha.

  • Top dit Martine, on va compter ce qui reste.

Apparemment Claire avait bien travaillé, elle avait retiré toutes les pinces qui se trouvaient sur mon torse et mon ventre, Martine enleva les huit qui étaient accrochées à mes oreilles,

  • J'ai gagné, dit Claire

  • Mais non dit Patricia en rigolant, il en reste encore en arrachant celles qui se trouvaient sous mes cuisses et qui ne pouvaient se voir.

Elle en retira ainsi cinq de chaque coté

  • Dix pinces égale cinq heures, bon courage Marc...

  • Faisons le point dit Martine, il est dix sept heures, Marc est condamné à cinq heures de bondage et à deux gages. Allons délibérer au salon.

Quelques instant après elles revinrent et dirent qu'elles avaient statué. Mon premier gage est d'être momifié entièrement, c'était celui de France et le deuxième était d'être mis à la disposition de Noémie pour la journée de dimanche, libre à elle de disposer de moi. Entre temps, je resterai momifié cinq heures placé sur un lit de la chambre. Ainsi fut-il décidé. La décision étant immédiatement exécutoire.

Martine demanda que l'on me détache pendant qu'elle allait chercher les bandelettes. Je fus libéré de ma chaise et conduit à la salle de bains pour faire quelques ablutions, France me dit profites-en cinq heures c'est long... Quelques instants plus tard, j'étais à nouveau entouré de ces dames, c'est en serre taille et bas que je serai apprêté, et elles me conduisirent à la chambre. Martine avait amené un carton contenant des rouleaux de tissus larges de quinze centimètres environ. Par ailleurs elle sortit d'une boite une espèce de mors avec des courroies et un masque pour la vue. Elle dit il doit être sage pendant son immobilisation, mais aussi il doit être en sécurité en me posant le mors dans la bouche et en l'attachant dans mon cou par les anneaux réunis par un petit cadenas.

Ensuite le masque me mit dans le noir, et je sentis enfin qu'elle me posait des bouchons dans les oreilles. En quelques secondes j'avais perdu toute notion d'environnement. Le reste de la préparation je le sentis. Ma tête, mes bras, puis mes jambes furent enveloppés minutieusement dans le tissus, puis le corps, les épaules et le tronc entièrement. Une fois entièrement recouvert de bandelettes, elles entreprirent de solidariser l'ensemble, mes pieds et mes jambes collés ensemble, puis mes bras le long du corps. Quelques minutes plus tard, je n'étais qu'une momie parfaitement rigide. Je sentis tout à coup qu'on me soulevait, et elles me posèrent sur le lit. Enfin je réalisai qu'elles fixaient ma momie sur le lit, avec d'autres bandes semble-t-il, il ne m'était pas possible de bouger d'aucune sorte. Etant totalement isolé, elles durent partir sans que je ne m'en rende compte.

Ce n'est que beaucoup plus tard que je compris ce qu'elles avaient fait.

Elles avaient décidé de continuer la fête entre elles et d'aller passer la soirée au restaurant. Ce n'est finalement que vers onze heures du soir que j'ai senti que l'on s'occupait de moi à nouveau.

La troupe était toujours aussi joyeuse, c'est ce que je constatai lorsqu'elles m'enlevèrent les bandelettes autour de la tête ainsi que mes bouchons d'oreille et le masque... mais pas le mors.

  • Restes muet dit Claire, sinon tu vas râler encore.

Elles me détachèrent du lit et à quatre me remirent debout.

  • La soirée n'est pas finie, champagne dit Martine. Il n'y a qu'à l'amener ainsi, il sera sage.

A toutes, elles me portèrent au salon et me posèrent contre le pilier de l'entrée ou elles me fixèrent avec quelques bandes.

  • Tu ne tomberas pas comme cela dit l'une d'elles, on va te faire boire, sois sans crainte.

Ainsi fut fait, je n'avais jamais bu du champagne ainsi, pas facile avec un mors aux dents.

Elles remirent de la musique et dansèrent encore longtemps. Ce n'est que vers une heure du matin que ces dames souhaitèrent se retirer.

  • Bon, ce n'est pas tout dit Martine, le dernier gage doit être mis en œuvre. Noémie, il est à toi jusqu'à demain soir,

  • Mais comment allons nous faire questionna France ?

C'est à ce moment là qu'encore un fois Martine se manifesta. Il y a les tenues de plongée au garage, on va l'équiper caoutchouc, ce sera bien, ensuite tu verras demain Noémie.

Aussitôt dit aussitôt fait, elle revint portant avec Patricia une combinaison, complète. Je fus libéré de mes bandelettes et me retrouvai en serre taille et bas encore une fois. Elles m'aidèrent à enfiler la combinaison très étroite, puis vinrent les bottines et les gants, puis la cagoule, sans enlever le mors bien sur. J'étais caoutchouté entièrement. Martine prit alors des rouleaux d'adhésif en toile, fixa les manchettes des gants, puis le haut des bottines. Puis ce furent les bras qui à nouveau se retrouvèrent collés le long du corps, enfin les cuisses collées l'une à l'autre jusqu'aux genoux.

  • Voilà le colis, il devrait être sage pour le voyage. Oh! Puis après tout, ce n'est pas la peine qu'il voit la route dit-elle en faisant plusieurs tours de la tête laissant seulement une ouverture au niveau de la bouche et des narines.

Je fus conduit dans une voiture et assis à l'arrière, fixé au siège par la ceinture de sécurité. Je compris ensuite que j'étais dans la voiture de France qui s'était chargée de ramener Noémie chez elle...et moi.

Noémie habite une maison ancienne au fond d'un jardin, c'est devant celui-ci que la voiture s'arrêta, il y avait cinquante mètres à faire à pieds. Cela me prit plusieurs minutes, à très petits pas vu ma situation, heureusement qu'à cette heure les gens sont couchés.

Je fus conduit directement au salon et Noémie me fit basculer sur le canapé puis finit d'attacher mes chevilles ensemble en me disant demain, il fera jour, je m'occuperai de toi...bonne nuit. Et elle s'en alla me laissant ainsi.

Je n'avais pas le choix de toute façon. La nuit bien que courte me parut longue, je n'arrivais pas à m'endormir.

Aveuglé, je n'avais aucune notion du temps, lorsque Noémie me réveilla, elle me secoua.

  • Tu n'as pas honte de dormir ainsi dit-elle ?

Je ne pouvais répliquer. Elle coupa l'adhésif qui reliait mes jambes entre elles, me fit lever et me conduisit dans la maison. En fait elle m'avait conduit dans une salle de bain ou elle enleva l'adhésif qui me masquait le haut de la tête.

  • Je pose un ciseau sur le bord de la baignoire, tu as demi-heure pour te déshabiller entièrement, et prendre une douche. Je ferme la porte, tu passeras tous les vêtements par la petite fenêtre, tu ne garderas rien, compris ?

  • Oui dis-je à travers le mors.

La chose ne fut pas aisée, attr a p e r le ciseau avec les gants, cela le fit tomber plusieurs fois. Enfin je fus nu et prit une douche avec plaisir, enlevant les odeurs d'une nuit caoutchoutée. Pour terminer je passai comme convenu tous les vêtements par la petite fenêtre. Noémie les récupéra et par le même moyen me passa un petit carton en me disant :

  • Equipes toi et surtout n'oublies rien. Tu as vingt minutes.

Le carton contenait plusieurs choses tout d'abord un porte-jarretelles, un string assorti, des bas à couture de couleur noire, des ballerines noires. Dans une poche se trouvait une robe noire de latex à manches longues, courte de forme corolle, une large ceinture équipée d'anneaux et des bracelets fermant aussi avec des anneaux, ainsi que plusieurs cadenas ouverts et enfin une perruque noire à cheveux courts. J'entendis la voie de Noémie me dire de m'habiller tout d'abord et de mettre à la fin les bracelets en les accrochant avec un cadenas à chaque fois.

Elle devait me surveiller, alors que je fermais le dernier cadenas sur mon poignet, la porte s'ouvrit, elle me dit :

  • Restes ainsi face au mur,

Aussitôt après, elle ajusta ma perruque et vérifia la tension de la large ceinture autour de ma taille.

Noémie était habillée elle aussi, elle portait un ensemble de cuir noir sur un body en dentelle, ses jambes gainées par un collant noir en résille étaient chaussées de hautes bottes à talons lacées jusqu'aux genoux. Ses yeux disparaissaient sous de grandes lunettes fumées. Elle était magnifique, me dominant d'une demi-tête.

  • Bien fit-elle, tu es à ma disposition pour la journée, comme convenu, aussi tu vas te charger des taches ménagères, vaisselle, ménage, et faire pour finir ma chambre. Tu disposes de deux heures et ensuite je ferais le contrôle de toutes tes actions. Tu vas mettre ces gants de caoutchouc et je vais quand même compliquer un peu ta tache en posant ces chaînes.

Elle relia aussitôt les bracelets des chevilles par une chaînette de vingt centimètres, au milieu de celle-ci elle plaça une autre chaîne qu'elle relia dans mon dos à un anneau de la ceinture en la tendant légèrement. Ensuite deux chaînettes de vingt centimètres environ relièrent mes poignets à deux anneaux placés latéralement sur la ceinture. Me voilà donc prêt, elle finit en me disant

  • Les produits et accessoires de ménage, et la poubelle se trouvent dans le cabanon situé dans le jardin.

Cela provoqua en moi un sursaut car le jardin donnait sur la rue et des personnes pourraient me voir. Noémie comprit ma réaction et dit

  • Puisque tu réagis ainsi, tu devras aller chercher chaque objet, un à la fois dans le cabanon. Bien entendu, celui-ci est fermé à clé et tu devras à chaque fois l'ouvrir et le fermer, ce qui t'empêchera de te cacher.

Je n'avais pas le choix et commençai tout d'abord par la cuisine, après ce fut au tour du séjour ou je passai l'aspirateur et époussetai tous les meubles et objets, enfin j'allais vers la chambre. Noémie était derrière moi, quand j'ouvris la porte, je sursautai en découvrant la scène. France était attachée en croix sur le lit, nue une cagoule fermée masquant sa tête, seule une ouverture au niveau du nez permettait la respiration. Noémie rit et me dit :

  • C'est une surprise, je vous garde tous deux, la libération de France sera liée à la qualité de ton travail.

En entendant Noémie, France essaya vainement de bouger, mais ses liens étaient parfaitement ajustés et seul un râle sortit de la cagoule. France n'était donc pas partie hier au soir et avait passé la nuit ici.

Je dus enlever la poussière partout, ce qui me prit un certain temps. De temps en temps, je regardais France, ce qui m'excita beaucoup.

Enfin je fis un dernier voyage au cabanon pour ranger l'aspirateur. Noémie regarda alors l'heure, il était onze heures et dit :

  • Tu as mis beaucoup plus de temps que prévu, trois quarts d'heure de trop, ce qui bien entendu va se convertir en punition.

Elle me ramena vers la chambre et ouvrit les portes de la grande penderie murale. Je découvris alors que celle-ci était vide et que le mur était équipé de divers anneaux. Elle me fit entrer dans celle-ci et après avoir détaché mes chaînes, m'attacha au mur en croix, les bracelets fixés à des anneaux, ensuite elle se servit de cordes pour littéralement me coller au mur.

  • Bien dit-elle, je vais laisser les portes ouvertes, tu verras ainsi France, vous serez bien ainsi tous deux. Quant à moi, c'est dimanche, je vais donc profiter de la journée car demain je travaille et j'ai besoin de me distraire.

Elle prit son manteau, sortit de la chambre. Quelques instant plus tard, j'entendais démarrer la voiture. Nous étions là jusqu'à quand ?

Chapitre 2

Chez Noémie

Noémie rentra enfin, combien de temps s'était-il écoulé depuis son départ, plusieurs heures c'était sur, j'étais ankylosé, ma position bras tendus et écartés verticalement devenait inconfortable. Quant à France, elle ne pouvait bouger, et devait trouver le temps long. Noémie était joyeuse, jeta son manteau sur un fauteuil et entreprit d'enlever son tailleur, apparaissant bottée en body et collant, elle était très excitante. Sans bruit, elle s'approcha de moi, retroussant ma robe, elle concentra ses efforts sur mon ventre, cela l'amusait de m'exciter et en quelques secondes, une forte érection récompensa ses efforts. Dans la continuité, elle se baissa et engloutit mon sexe, elle atteignit son but en quelques secondes. Se relevant ensuite, elle fit comme si de rien n'était et dit à voix haute

  • Je vais vous libérer car il était plus de vingt heures et que nous devions quand même rentrer.

J'étais quant à moi resté attaché près de neuf heures d'affilé.

Elle commença par détacher France, sans toutefois lui enlever le cadenas qui fermait sa cagoule, la conduisit d'urgence aux toilettes, et la ramena quelques instants plus tard. Elle entreprit de l'habiller sommairement, lui fit enfiler un collant opaque noir et un gros pull à col roulé rouge, puis mettre des ballerines noires. La laissant ainsi, elle partit dans l'entrée et revint portant des gants de ménage et un rouleau d'adhésif large. Lui mettant les gants, elle fit trois tours d'adhésif autour de chaque poignet empêchant de les enlever sans ciseau ou couteau approprié.

Satisfaite, elle lui enleva enfin la cagoule et je constatais que cette dernière était équipée d'un petit bâillon gode incorporé, le supplice pour France avait été total. Elle réagit peu en se voyant ainsi parée, la fatigue se faisait sentir.

Elle abandonna France pour me libérer à mon tour. Tout d'abord, elle enleva mon mors, ce qui me permit de faire quelques mouvements avec la mâchoire, mais aussitôt après, prenant la cagoule que portait France, elle me la mit sur la tête et consciencieusement la ferma, ce qui me bâillonna et me replongea dans le noir. Je ne savais plus ce qui se passait. Le cadenas du collier fermé, elle entreprit de me détacher et me fit sortir du placard. J'entendis un bruit de chaîne et sentis qu'elle entourait ma taille l'attachant avec un cadenas. Elle me tira et je sentis la chaîne se tendre, puis un autre clic d'un cadenas qui se fermait. Pour que je comprenne, elle dit qu'elle m'avait relié à France par la taille et que nous disposions de quarante centimètres de liberté l'un vis à vis de l'autre.

Noémie expliqua alors que nous n'étions pas totalement libres, d'abord, mes vêtements étaient toujours chez Martine, ceux de France étaient déjà dans le coffre de la voiture, quant aux clés des cadenas qui nous reliaient, elles étaient aussi chez Martine ! Donc pas le choix, nous devions revenir chez elle...

Bâillonné, je ne puis rien dire, quant à France, elle était furieuse, mais que faire ? La nuit était tombée, Noémie enfila son manteau, nous tirant par la chaîne, elle nous fit traverser le jardin, ouvrit la porte coté passager, fit monter France, puis moi. Je sentis qu'elle me mettait la ceinture, et rapprochant mes poignets, elle relia les deux bracelets par un cadenas qu'elle ferma, puis vinrent le tour de mes chevilles qui eurent droit au même traitement. Un bout de corde finalisa le tout en attachant mes genoux entre eux.

Enfin elle tendit les clés de la voiture à France en lui disant qu'elle espérait que la police ne nous arrêterait pas car nous aurions du mal à expliquer notre situation. Il ne nous restait plus qu'à retourner chez Martine, parcours d'une quarantaine de kilomètres. France réalisant alors que j'étais à nouveau attaché et lié à elle, elle dit à Noémie

  • Comment vais-je faire chez Martine pour descendre de la voiture ?

T'inquiètes pas répondit-elle, tu n'auras qu'à klaxonner, de toute façon je la préviens de votre arrivée. C'est ainsi que nous entreprîmes le voyage retour.

Cela prit près de trois quarts d'heure, France s'évertuant à conduire en respectant le code de la route et prenant parfois une petite route plutôt que la nationale. Enfin nous arrivâmes chez Martine. Elle répondit de suite au coup de klaxon et ne put s'empêcher de rire en nous voyant ainsi. Elle avait les clés des cadenas de la chaîne et les défit aussitôt. France libérée, elle la fit rentrer dans la maison, le froid se faisant sentir, puis vint s'intéresser à moi, essayant les clés, elle ne put ouvrir les cadenas, surprise, elle dit :

  • mais qu'a fait Noémie, ou sont les clés ?

Ne trouvant pas la solution, elle décida de rentrer la voiture au garage pour me mettre à l'abri et ensuite repartit à la maison pour téléphoner afin d'avoir la solution.

Ce ne fut que dix minutes plus tard qu'elle put enlever les cadenas, leurs clés étant au fond d'un sac plastique dans le coffre. Dernière espièglerie de Noémie de la soirée. Martine me fit entrer dans la maison, me complimenta pour ma tenue et me libéra de la cagoule. Nous retrouvions notre liberté ce dimanche soir, il était près de vingt deux heures. Rapidement rhabillés, France et moi reprîmes la route pour rentrer, je proposai à France de rester chez moi ce soir, puisqu'elle ne travaillait pas avant vingt heures le lundi, ce qu'elle accepta rapidement. Au cours du trajet, elle m'avoua que ce week-end n'était pas le fruit du hasard, elle avait minutieusement préparé ce piège avec Martine. Se rappelant qu'un jour nous avions parlé de fantasmes, il lui avait semblé que je n'étais pas insensible à cela, quant à elle, elle adorait le bondage et pratiquait régulièrement le self bondage chez elle. Je lui dis que j'avais adoré, même si j'avais trouvé le temps long ainsi attaché. Me travestir était aussi une expérience que je n'avais jamais osée. Puisque ce goût nous était commun, elle me proposa, vu notre entrain de recommencer ces expériences

Chez France

Mes obligations m'ayant amené à l'étranger, ne revis pas France de trois mois. Elle me téléphonait cependant de temps en temps, nous parlions souvent de ce week end de février et un jour me posa la question suivante :

  • Marc, tu oserais porter des dessous féminins tous les jours ?

  • Je ne sais pas dis-je, sans lui dire cependant que j'avais ce fantasme.

Elle me dit qu'elle souhaiterait me voir et nous prîmes rendez-vous pour le mardi suivant. Elle arriva à mon appartement vers quinze heures, je lui ouvrit aussitôt et la fit entrer. Elle avait un sac, l'ouvrit en sortit une poche, c'est un cadeau pour toi me dit-elle. Je l'ouvrai et découvris un string, un porte jarretelles et des bas noirs.

  • C'est un cadeau pour toi, j'aimerais que tu les essayes.

Surpris, je protestai pour la forme, elle vint se coller à moi et je capitulai rapidement. J'enlevai mon pantalon mes chaussettes et mon caleçon, et avec son aide passai ces dessous. Le contact de leur texture provoqua chez moi une érection rapide. France me regarda longuement et me dit de mettre mon pantalon et mes chaussures, que nous allions faire des courses. J'obtempérais et nous prîmes la voiture direction le supermarché de bricolage. Elle voulait s'équiper, me disant qu'elle n'avait utilisé que foulards et ceintures pour s'attacher, mais au vu de l'expérience que nous avions réalisée, elle n'avait de cesse que de passer à un équipement plus performant, mais que seule elle n'osait pas.

Une heure plus tard, nous avions rempli le panier de diverses choses. Au rayon des cordages, nous avons fait couper des cordes de 8mm et des chaînes en plusieurs longueurs, puis acheté de petites s a n g les et une douzaine de petits cadenas ; cela nous a paru un bon achat. Nous partîmes satisfaits, France proposa de passer par le sexy center, pour voir ? Pourquoi pas lui répondis-je ? Dans ce magasin notre attention alla droit vers le rayon cagoules, baillons, colliers, bracelets, tous ces accessoires étant adaptés à nos envies de bondage. Heureusement que nous ne sortions pas souvent, ces achats ayant vidé notre porte-monnaie !

Nous sommes rentrés vers dix-sept heures, contents de nos courses. Le téléphone sonnait. Je décrochais, on me cherchait d'urgence. Devant m'absenter une heure environ, je proposai à France de m'attendre chez moi et que la raccompagnerai chez elle en revenant, ce qu'elle accepta. A mon retour je la raccompagnai et nous prîmes rendez-vous pour le vendredi suivant chez elle.

De retour à mon appartement, je décidai de me déshabiller et de ne garder que mes nouveaux dessous. Je me contentai pour préparer le repas d'enfiler le tablier en plastique de la cuisine et de mettre les gants de ménage. L'excitation était au maximum et le restai finalement ainsi pour la soirée. J'allais me coucher, je prenais l'avion pour Londres de bonne heure ou je devais rester jusqu'à vendredi.

Le lendemain, après une bonne douche, j'allais à mon armoire pour prendre des sous-vêtements propres, mais la surprise fut grande, plus aucun de mes dessous n'étaient dans le tiroir, France, s'était occupée hier, pendant mon absence et avait remplacé mes slips et chaussettes par des bas, collants, strings et porte jarretelles. Je comprends maintenant pourquoi elle avait un sac assez volumineux en arrivant ! Se trouvait aussi sur le coté une gaine culotte de couleur chair, trois strings un collant et deux paires de bas opaques noirs, un petit mot était à coté : Marc, je ne te verrai pas demain matin, aussi voila mes consignes, plus de sous-vêtements pour homme à compter d'aujourd'hui, pour ton voyage, tu mettras ceux-ci. Je n'avais pas le choix, je mis la gaine, elle me serrait et remontait haut sur la taille, j'enfilai les bas que j'attachai aux jarretelles, puis ma chemise et mon costume par-dessus. La sensation était extraordinaire, tout à coup je pensais pourvu que je ne sois pas obligé de me déshabiller pour une fouille à l'aéroport par exemple !

Ces sensations nouvelles très agréables étaient assez excitantes, le contact des bas mais surtout la pression exercée par la gaine. Je craignais cependant que l'on aperçoive les jarretelles au travers de mon pantalon, mais faudrait-il tomber sur une personne curieuse et portée sur ces jeux. Qui d'autre pourrait imaginer ? L'opacité des bas par contre ne permettait pas de s'apercevoir que j'en portais, on pouvait les confondre avec des chaussettes fines, cela me rassura un peu.

Le vendredi matin, je reçus un sms de France qui me disait venir m'attendre à l'aéroport à mon arrivée vers seize heures

Elle était bien là à l'accueil, la première des choses qu'elle fit en se collant à moi pour m'embrasser, c'est de passer sa main sur ma hanche pour constater que je portais bien mes dessous. Très bien dit-elle, tu as obéi à mes consignes. Nous regagnâmes son appartement, et elle me suggéra de quitter mon costume

  • tu seras plus à l'aise, mais viens te montrer je veux te voir avec tes dessous.

Je revenais au salon en string, porte jarretelles et bas uniquement. Je trouvais France changée, elle aussi uniquement vêtue d'un collant v i o l et de danseuse, ne laissant libre que ses mains et sa tête. Elle revint aussitôt se mettre contre moi,

  • tu es ma chose, tu m'appartiens, c'est moi qui décide de la suite.

Elle me fit enfiler une combinaison courte en polyamide noire puis ayant déballé sur la table les achats de l'autre jour, elle commença par me mettre les bracelets aux poignets, puis aux chevilles en veillant bien qu'ils soient correctement serrés, et mit les cadenas. Puis ce fut le tour du collier, et pour finir, elle me posa un bâillon boule, ces deux pièces cadenassées elles aussi.

Elle me fit asseoir sur la chaise du bureau, et à l'aide des cordes me lia sur celle-ci, les mains dans le dos, une corde relia mes chevilles aux poignets ce qui fait que je ne touchai plus le sol. Elle continua plusieurs minutes à parfaire son bondage, terminant à l'aide des s a n g les qu'elle serra facilement grâce aux boucles adaptées qui les équipaient. France fit ensuite rouler la chaise devant la télévision

  • il est tôt aussi je vais te mettre une cassette pour te distraire pendant que j'irai faire les courses pour le repas et préparer le souper.

La cassette choisie était titrée " entraves ", elle me dit regardes-la elle est pleine d'idées. France enfila son manteau directement sur son collant, chaussa des bottes montantes et partit en m'adressant un baiser, me laissant ainsi. Je réalisai qu'elle était adroite, je ne pouvais bouger que la tête, mon corps étant totalement ligoté.

La cassette était terminée, et France pas rentrée, pourtant le marché n'était pas loin et elle y était allée à pieds. Ce n'est que vers dix neuf heures trente qu'elle franchit enfin la porte, mais elle n'était pas seule, Noémie l'accompagnait. Elle rit en me voyant, France l'avait mise au courant, tu y prends goût Marc à ces petits jeux ? Elle était magnifique, sous un court manteau gris, elle portait une mini jupe écossaise sur un body vert et un collant noir. Des bottes montantes la chaussaient. J'ai trouvé France à la librairie, nous avons parlé et comme je lui ai dit que j'étais seule, elle m'a raconté dans quelle situation elle t'avait mise, et m'a invitée, ce que je me suis empressée d'accepter.

  • Tu me connais maintenant Marc et tu as compris mes goûts aussi une telle invitation ne se refuse pas dit-elle en enlevant son manteau.

France avait relancé la cassette, et était partie vers la cuisine. Noémie semblait intéressée par le contenu du carton, il y avait encore les chaînes, des cordages mais aussi les rouleaux d'adhésif gris. Pas mal tout ça dit-elle, en revenant vers moi, tout à coup elle s'asseya sur mes genoux face à moi, passant ses bras derrière mon cou, elle plaqua ma tête sur sa poitrine, mon nez et ma bouche se trouvèrent privés d'air, et elle commença à remuer son bassin. La réaction fut immédiate, une forte érection, mal contenue par mon string se produisit, elle continua quelques secondes ce jeu, se leva tout d'un coup et partit à la cuisine en riant, me laissant dans un état pas possible.

Elles revinrent toutes deux dix minutes plus tard, France qui avait enfilé mon tablier de plastique sur le collant v i o l et, était très sexy. Noémie vint vers moi en disant ce ne sera pas commode pour toi de manger, aussi je vais te sortir de la et elle commença à retirer les s a n g les et les cordes qui me liaient à la chaise. Une fois libre de mes mouvements, par la main, elle me conduisit devant le canapé puis se saisit du carton avec les accessoires et le posa près de moi

France a réparé un petit buffet dit-elle, nous pourrons manger ici, elle en a encore pour environ un quart d'heure, cela me laisse le temps de faire quelque chose de toi. Viens ici et mets-toi bien droit devant moi, bras collés le long du corps. Je lui obéis et elle commença avec les cordes de m'attacher, en commençant par les épaules, puis au-dessus et au-dessous des coudes, descendant au niveau des poignets, elle les fixa à chaque cuisse, suivirent les cuisses puis le dessus et le dessous des genoux, les mollets et enfin les chevilles. Je ressemblai à un rôti. Elle entreprit de relier toutes ces cordes horizontales par une corde verticale, faisant bien attention à chaque niveau de faire un nœud pour éviter tout glissement ; arrivée aux chevilles elle en profita pour lier mes pieds et fit remonter la corde dans mon dos en procédant de même. Arrivant aux épaules, elle passa celle-ci sur l'épaule droite, venant la nouer à la corde de devant et repassa sur l'épaule gauche pour terminer par un nœud à la corde arrière. Je crus que c'était fini, mais prenant une autre corde, elle entreprit de relier les cordes avant et arrière en passant sous les bras et ensuite termina en faisant de même avec les jambes. Plus aucune corde n'avait la possibilité de glisser, et l'ensemble s'était resserré. Noémie sembla satisfaite et me laissa ainsi debout. Elle partit rejoindre France à la cuisine et les entendant rire, j'ai pensé qu'elle lui racontait son chef d'œuvre.

Lors qu'elle revinrent, elles me firent m'asseoir en me poussant sur le grand canapé. France avait changé son collant et en avait mis un autre la couvrant entièrement aussi mais en fine résille noire. Noémie dit alors, tout est prêt France, alors je vais maintenant m'occuper de toi. Mets-toi devant moi, avec ton collant qui te protège, je vais te scotcher. Saisissant un rouleau et des ciseaux, elle entreprit de l'attacher comme moi, en commençant cependant par bien scotcher chaque main, leur interdisant ainsi toute possibilité d'action. Du haut des épaules aux pieds, elle ressembla rapidement à une tranche napolitaine, le noir du collant contrastant avec le gris du scotch. L'espacement des bandes étant assez régulier. Ne pouvant ainsi plus bouger, Noémie la fit asseoir elle aussi à l'autre extrémité du canapé. Nous étions désormais prisonniers de Noémie. Elle termina en mettant les deux petits poufs contre le canapé et en soulevant nos jambes, les fit reposer dessus. Noémie alla à la cuisine et revint peu après portant deux plateaux préparés pour le repas. Comme vous ne pourrez manger seuls, je vais m'occuper de vous l'un après l'autre dit-elle. Elle enleva mon bâillon et entreprit de nous alimenter et de nous faire boire tour à tour, Noémie étant installée entre nous sur le canapé J'ai décidé que la seule boisson autorisée était le punch, ce soir fit-elle, vous n'aurez pas à prendre la voiture et moi je coucherai ici, cela sera plus raisonnable. Demi-heure plus tard nous étions restaurés et assez échauffés. La télévision était toujours allumée et le spectacle de corps attachés, suspendus et mis dans différentes situations nous excitait.

Noémie se leva allant vers le carton, elle en sortit deux masques de tissus, un autre bâillon boule et deux bas, revenant vers nous, après nous avoir fait boire un dernier verre de punch, elle nous bâillonna de nouveau et nous aveugla avec les masques puis enfila sur notre tête un bas. Saisissant un rouleau d'adhésif, elle fit un tour au niveau des yeux plaquant totalement le masque sur le visage nous mettant totalement dans l'obscurité. Elle dit en rigolant

  • Ce n'est pas la peine m'aider, je vais débarrasser la table restez donc assis.

Je l'entendis trafiquer longuement, puis elle revint s'asseoir entre nous.

  • J'ai mis une autre cassette, nous allons la regarder, pardon, je vais la regarder dit-elle en montant le son.

Nous n'avions que les paroles, mais elles étaient suffisamment explicites pour que nous comprenions que le sujet était chaud. Tout à coup, j'ai senti la main de Noémie sur moi, sans bouger son corps pour ne pas attirer l'attention de France, elle la glissait sous mon string, s'emparant de ma verge. En quelques mouvements elle lui donna de la vigueur, le spectacle devait être intéressant, elle se leva sans me lâcher en disant je vais aux toilettes, mais contourna en fait seulement le canapé. Deux secondes plus tard, une bouche m'avalait et me conduisit dans le silence en quelques secondes à la jouissance. Elle me lécha longuement. Enfin elle partit et revint en faisant un peu de bruit s'asseoir entre nous. Nous restâmes ainsi jusqu'à la fin du film.

Sans nous enlever les bandeaux, Noémie nous débâillonna et nous donna à boire. Puis elle dit

  • Comment allez vous passer la nuit tous les deux ? Vous êtes bien comme ça, mais on peut faire mieux. Je vais vous lever, sans vous détacher, puis je mettrai le canapé en position nuit, ensuite je vous coucherai dessus, voilà pour commencer.

Ainsi fut fait, difficilement mais fermement elle m'aida à me lever, puis elle fit de même avec France. Le canapé en position nuit constituait un lit. Elle me fit coucher le premier et m'installa semble-t-il vers le milieu, puis elle fit de même avec France et la fit rouler sur moi, compte tenu qu'elle est aussi grande que moi, nous nous superposions parfaitement. Puis je sentis Noémie autour de nous, et une première s a n g le se serrer sur nous, nous collant l'un à l'autre, puis une deuxième et ainsi de suite, nous étions reliés des pieds aux épaules. Avec des cordes, elle arrima le colis de façon à ce que nous ne puissions basculer ni d'un coté ni de l'autre. J'étais à nouveau excité et France ne pouvait l'ignorer, sa bouche étant au niveau de la mienne, elle m'embrassa fougueusement, ce qui n'échappa pas à Noémie.

  • Oh! les canailles,

Elle rabattit les bas sur nos têtes, nous empêchant de continuer et je sentis qu'elle passait par-dessus la culotte d'un collant emprisonnant nos têtes ensemble. Voilà les petits, vous êtes mes prisonniers pour la nuit, je vais me coucher, faites de beaux rêves, je ne veux pas vous entendre sinon je sévirai attention !. On l'entendit partir, toujours excités autant l'un que l'autre, je sentis longuement France essayer de bouger, tout doucement, elle me dit des horreurs qui amplifièrent la situation, la situation l'excitait et elle finit par jouir à son tour. Nous nous endormîmes enfin tard dans la nuit.

Vers le mâtin, les mouvements de France me réveillèrent, puis la voix de Noémie.

-Avez-vous bien dormi ? Je dois partir de bonne heure, France, je vais te libérer, puis tu te débrouilleras avec Marc après mon départ.

Je sentis que les s a n g les se détendaient, puis France glisser sur le côté. Noémie devait s'activer et elle put se lever enfin. Quant à moi j'en profitai pour respirer calmement, le poids de France sur mon corps toute la nuit m'avait un peu engourdi.

J'entendis les filles papoter à la cuisine et la porte d'entrée, Noémie devait être partie. France revint, retroussant le bas sur ma tête elle libéra ma bouche et m'embrassa longuement. Sans un mot, elle entreprit de me caresser jusqu'à obtenir un résultat visible. M'enjambant, elle s'empala sur moi et me v i o l a carrément prenant un grand plaisir semble-t-il à cette situation particulière. A mon tour, l'explosion arriva sans que je puisse la contrôler

Elle me laissa ainsi encore un moment, puis vint me détacher, ce qui prit une vingtaine de minutes vu la qualité de l'empaquetage qui avait été fait. J'étais libre, elle était nue devant moi et m'emmena vers la salle de bains ou nous prîmes tout notre temps.

Essuyés et repus, c'est alors que France dit :

  • Noémie souhaite que nous allions chez elle ce soir, elle a laissé les consignes dans l'enveloppe sur la table. Cependant je me suis engagée à ne pas l'ouvrir avant cet après-midi.

Devant passer à mon bureau faire un compte rendu de mon voyage à Londres, je me rhabillais guetté par France pour voir si je remettais correctement mes dessous avec en plus la combinaison. Ma chemise épaisse ne laissait rien voir par transparence.

Week-end chez Noémie

Je revins chez France vers quinze heures et nous décidâmes d'ouvrir l'enveloppe. Les ordres étaient stricts : nous devions aller chez elle tous deux dans la tenue suivante : guêpière, bas, string et ballerines noires, poignets cou et chevilles équipés des bracelets, tous cadenassés. Pas question qu'elle trouve un vêtement dans notre voiture, elle consentait que pour sortir de l'appartement nous enfilions une combinaison non tissée blanche de bricolage par-dessus nos dessous " au cas ou " disait-elle. Elle nous donnait rendez-vous à dix huit heures précises dans la cour d'une ferme à deux kilomètres de chez elle. Elle stipulait que les combinaisons ne devraient plus être dans la voiture et que nous devions les jeter sur le chemin en un lieu précis. Elle devait nous trouver tous deux sur le siège arrière de la voiture, les anneaux des bracelets des chevilles et des mains reliés par des cadenas fermés, mains dans le dos, masqués et bâillonnés.

Il n'y avait pas le choix, mais l'excitation nous avait gagnés tous deux. Il manquait cependant une guêpière pour moi, France décida que nous allions dans une boutique pour en acheter une. Un magasin se trouvant dans la galerie marchande du centre commercial, nous y allâmes. France choisit une guêpière noire assez stricte, la vendeuse regardant la taille, lui fit remarquer qu'elle lui paraissait grande, et me regarda en souriant. Nous partîmes dubitatifs en pensant que la vendeuse se doutait de quelque chose, mais ne fit aucune remarque.

Aussitôt rentrés, je passai la guêpière et fixai les bas. France fit de même. Au moment de mettre les bracelets, nous avons hésité et décidé de ne les mettre qu'après avoir quitté l'appartement et dans la voiture. C'était plus prudent, puis avons enfilé les combinaisons, fermant celles ci. Dans un sac nous avons mis les chaînes et autres accessoires. Les cadenas étaient ouverts, toutes les clés avaient été emportées par Noémie.

Il était dix sept heures lorsque nous sortîmes enfin de l'appartement, écoutant s'il y avait quelqu'un dans la cage d'escalier avant de prendre l'ascenseur pour le garage.

Nous prîmes la direction de la ferme. Après le dernier village, je m'arrêtais dans le premier chemin discret rencontré et je dis à France que nous devions nous équiper. Nous enlevâmes les combinaisons que nous mîmes dans un sac plastique, puis nous nous équipèrent réciproquement des divers bracelets. La prochaine étape étant de jeter le sac dans la charrette prévue. Nous repartîmes, France essayant d'identifier le lieu du dépôt. Celui-ci apparut, mais la charrette était environ à vingt mètres du bord de la route ! Il fallait sortir pour porter le sac dans la tenue qui était la notre soit l'un soit l'autre. Je m'arrêtai au plus près et prenant le sac, j'ai couru le plus vite possible en espérant qu'une autre voiture ne passerait pas ! J'ai eu de la chance et regagnai la voiture sans encombre, mais j'avais chaud.

La fin du parcours fut plus facile et nous entrâmes dans la cour de la ferme déserte. Il était dix-sept heures cinquante, nous avions dix minutes pour terminer de nous préparer. Après avoir garé la voiture, nous passions sur le siège arrière. D'abord les baillons, puis les cadenas reliant les anneaux des bracelets des chevilles. Ensuite je posais le bandeau à France et lui attachai les mains dans le dos. La faisant se tourner un peu je lui glissais le dernier cadenas dans les mains et je me mis le bandeau. Me tournant alors, elle réussit à fermer le cadenas sur les anneaux des bracelets de mes poignets m'immobilisant à mon tour totalement. Nous étions maintenant à la merci de Noémie, l'un contre l'autre. Il devait être près de dix huit heures, elle ne devrait pas tarder.

Le temps passait et personne ne venait, je sentais France s'agiter, et commençait tout à coup a avoir des frayeurs, si Noémie avait eu un empêchement ? Qu'allions nous faire ainsi ? Un début de panique s'empara de moi. Enfin au bout d'un long moment, j'entendis du bruit, puis la voix de Noémie qui rigolait et dit

  • Alors les petits, on panique ?

En fait je poussai un long soulagement. Noémie dit, j'ai un peu de retard, en fait je suis partie de la maison à dix-huit heures, je n'ai que trois-quarts d'heure de retard, ce n'est pas grave, nous avons du temps devant nous n'est-ce pas. Et puis finalement, je n'ai pas à me justifier, qui commande ici ?

Prenant le volant, elle démarra et dit qu'elle devait passer chercher des œufs à la ferme suivante et partit rapidement. Quelques instants plus tard, la voiture s'arrêta, elle descendit et j'entendis des voix. Panique à nouveau, pouvait-on nous voir ? Noémie revint enfin et dit au revoir en démarrant. Dernier arrêt, nous étions devant chez elle, plutôt au bout du jardin je m'en souvenais.

Elle descendit, claquant la porte, puis rien ne se passa, elle nous avait laissés, pourquoi ? De toute façon, on ne pouvait rien faire. Elle revint et libérant nos chevilles, nous fit sortir de la voiture. Passant derrière nous, je sentis qu'elle ouvrait le cadenas des poignets, mais le referma aussitôt. En bougeant mes mains, je compris alors qu'elle avait fixé une chaîne. En fait elle nous avait attachés ensemble, et nous tira ainsi jusqu'à la maison.

Une fois à l'intérieur, elle nous fit asseoir sur un canapé du salon, cote à cote et nous rattacha les chevilles après nous avoir fait remplacer nos ballerines par les chaussures à talons qu'elle attacha consciencieusement. On resta ainsi un certain temps, jusqu'à ce que la sonnette retentisse. Noémie alla ouvrir et dit bonjour, tu as fait bonne route ?

Quelqu'un arrivait, ce n'était pas prévu ! Qui allait nous voir ainsi ?

Un grand rire, et tout à coup la voix de Martine qui s'exclama, je comprends pourquoi tu as tant insisté pour que je vienne passer le week end chez toi ! Mais c'est parfait, on va bien s'amuser...J'entendis qu'elle embrassait France, puis en m'embrassant à mon tour, sa main se porta à mon sexe pour une caresse rapide.

Noémie entre temps était revenue dans la pièce, elle nous débarrassa de nos masques et de nos bâillons. Nous allons prendre l'apéritif dit-elle. Elles vinrent s'installer près de nous, Noémie portait une petite robe de cuir et ses bottes sur un collant résille noir, quant à Martine, elle avait une combinaison de latex qui la moulait entièrement et des cuissardes en vinyle lacées.

Elles s'installèrent chacune à coté de nous et nous débarrassèrent des cadenas de nos poignets. Nous passâmes ainsi une petite demi-heure à parler de choses et d'autre.

Noémie avait dressé le couvert dans la pièce attenante, sur une petite table ronde en métal de jardin et quatre chaises à haut dossier assorties se trouvaient autour.

Vers vingt heures, elle proposa que nous passions à table. Nous détachant les chevilles, elle nous proposa de nous asseoir, France en face de moi, Martine à ma gauche. Martine portait le carton, en sortit des rouleaux d'adhésif et commença à me lier, les chevilles et genoux attachés à chaque pied, puis la taille au dossier et le buste enfin, me collant ainsi à la chaise. Elle passa ensuite à France et fit de même.

  • Voilà comme cela vous resterez à table dit-elle.

C'est ainsi que nous dûmes manger, l'entrée et le plat principal. Pour le dessert, Martine dit :

-On va leur bander les yeux, et leur attacher les mains dans le dos, puis ils devront dire ce qu'ils mangent.

Comme le dessert est exotique, cela devrait générer quelques gages. Aussitôt dit, elle passait derrière nous et nous attachait les mains au dos du dossier, puis elle prit les masques et commença par France qui se retrouva dans le noir. Se tournant vers moi, elle me fit un clin d'œil et posa le masque sur la table, me laissant libre. Avec Noémie, elles firent tourner la chaise de France la mettant dos à la table, puis firent de même avec moi. Je ne voyais plus France.

Noémie tendit une petite assiette à Martine et lui fit signe de faire comme elle. Se mettant devant moi, elle m'enjamba et s'assit sur mes genoux, retroussant sa jupe. Prenant un morceau de fromage, elle le mit à la bouche et s'approchant de moi, me le fit prendre ainsi, un second suivit et ainsi de suite. Puis ce fut le tour des fruits, coupés en morceaux. A ce moment là nous dûment répondre aux questions, avec plus ou moins de bonheur. Alors qu'il n'en restait plus que quelques-uns uns, Noémie dit :

  • On va mettre de la chantilly, cela compliquera un peu le jeu.

Allant chercher une bombe, elle la tendit à Martine, puis la reprenant, elle en mit sur l'assiette posée à coté de moi, mais se baissant elle entreprit de faire glisser mon string libérant ma verge et donna dessus un coup de bombe. La réaction ne se fit pas attendre, une érection incontrôlable se produisit. De quelques coups de langue, Noémie entreprit mon nettoyage, posant un à un les petits morceaux de fruit sur le bout de ma verge et les mangeant ainsi. Bien entendu elle me posait à haute voix à chaque fois :

  • C'est quoi celui-ci Marc ?

Je répondais n'importe quoi, essayant de contrôler ma jouissance. Je ne résistai pas longtemps et éclatai pour le plaisir de Noémie.

Elle se leva et sans rire dit à haute voix :

  • Martine il a fait six fautes, et toi combien en as-tu relevées ?

Sérieusement elle dit :

  • Moi j'en ai relevées quatre, c'est donc France qui est la meilleure.

Noémie me mit le masque et je les entendis partir à la cuisine. Ne pouvant rien voir, je n'ai pas su ce qu'avait fait Martine avec France. Par contre, elles riaient toutes deux, semble-t-il très satisfaites de ce qu'elles venaient de faire.

Je sentis tout à coup que l'on me lavait, Noémie semblait-il finissait d'enlever les traces de crème qui restaient sur moi, pour masquer son forfait je pense à France lorsqu'elle nous libérerait.

Elles s'activèrent un moment, puis revinrent s'occuper de nous. Je sentis le bâillon reprendre sa place, puis fut libéré de la chaise, Noémie m'enleva le masque et me conduisit à la salle de bains. J'eus droit à quelques minutes, puis ce fut au tour de France.

Elles nous ramenèrent au salon, celui ci était séparé de la salle à manger par une ouverture en voûte supportée par deux colonnes d'une vingtaine de centimètres de diamètre, distantes de trois mètres environ

Nous fûmes installés face à face devant chaque colonne, Martine s'occupant de moi et Noémie de France, nous sommes alors attachés collés contre celles-ci, les bras tirés en arrière par plusieurs cordes bien tendues.

  • Il y avait combien de fautes tout à l'heure Martine dit Noémie ?

  • Quatre pour France et six pour Marc dit-elle.

  • Alors nous allons leur poser quarante et soixante pinces.

Aussitôt commença " le supplice " nous essayâmes de râler, mais les bâillons nous en empêchaient. Quelques minutes plus tard, nous étions recouverts, la plupart se trouvant au niveau du corps.

Elles terminèrent en reliant face à face les pinces qui étaient sur nos tétons par deux fines cordelettes, les tendant légèrement, ce qui accentua le supplice.

Cela les satisfaisait apparemment et elles allèrent s'installer sur le canapé, une cassette dans le magnétoscope. Je compris rapidement que le sujet correspondait à ces activités qui nous passionnaient.

Nous restâmes ainsi tout le film, Martine et Noémie étant de toute évidence passionnées par ce qu'elles voyaient à l'écran.

Elles firent attention à nous à la fin du film. Noémie dit qu'elles allaient nous coucher, elles nous détachèrent, nous rattachant cependant les mains dans le dos, après un bref passage à la salle de bains.

Nous furent conduits à la grande chambre ou nous avions séjourné pour carnaval. La penderie étant ouverte, je constatai qu'elle était équipée de nombreuses s a n g les de cuir.

  • France va l'essayer dit Noémie, Marc sera mis lui sur le lit.

France fut prise en main par les filles, elles lui mirent le masque, lui bouchèrent les oreilles avec un petit casque, puis lui mirent un bâillon anneau à la place du bâillon boule, qui permettait de respirer sans risque de danger. Pour fixer le tout, elles utilisèrent des bandes de strap vertes.

  • Tu m'entends dit Martine ?

Aucun mouvement de France lui répondit.

  • Je crois que c'est bon dit-elle à Noémie.

Celle-ci prit alors France par la main, la fit se mettre contre le mur de la penderie et commença à attacher les s a n g les, au niveau de la taille, puis des hanches, ensuite les épaules. Elle continua par les cuisses, puis passa aux bras qui furent fixés comme sur une croix de saint André. Elle se concentra ensuite sur les jambes, elles aussi attachées ouvertes et séparément. Tirant un peu partout, elle s'assura qu'aucun mouvement n'était possible. Pour terminer, elle lui mit un collant sur la tête, se servant des jambes de celui-ci pour empêcher la tête de ballotter.

  • Parfait fit-elle, elle sera bien ainsi jusqu'à demain.

Se rapprochant de moi, elle dit :

  • Martine, si nous nous occupions de Marc maintenant ?

En disant cela, elle me pinça les tétons fortement, j'eus un sursaut.

  • Tu peux gémir dit Noémie, France ne peut pas t'entendre.

  • Martine, déshabilles-le,

En quelques secondes, j'étais entièrement nu, avec mon bâillon boule et les mains attachées dans le dos. Noémie revint avec un accessoire de cuir que je regardais avec curiosité. Elle m'expliqua que j'allais être fixé avec lui. Il était composé de diverses s a n g les, reliées entre elles. La première se fixant comme un collier autour du cou, la dernière réglable attachait les pieds et les chevilles. Elle commença aussitôt. Les s a n g les horizontales, permettaient le blocage des bras, puis des poignets, enfin les dernières serrant les jambes l'une contre l'autre. Toutes les boucles étant attachées au milieu du dos.

En quelques minutes, j'étais prisonnier de ce système. La aussi, impossible de faire le moindre mouvement. Des anneaux se trouvaient de chaque coté au niveau des épaules, des coudes, des hanches, des genoux et des chevilles. Elles terminèrent en m'enfilant une cagoule qui masquait entièrement le haut du visage, laissant libre la bouche et le bas du nez.

Ensuite, je fus basculé sur le milieu du lit, et couché sur le dos, Noémie demandant à Martine de se mettre de l'autre coté du lit, elles me fixèrent alors avec des cordes, tendant bien celles-ci. Je sentis un mouvement, puis le contact de leurs corps, elles s'étaient couchées chacune d'un coté, contre moi. Martine murmura :

  • Marc, ce n'est pas tous les jours que l'on cette situation, on te laisse un moment, mais nous allons revenir.

Noémie gloussa, et elles m'abandonnèrent ainsi. Tout à coup, je sentis une présence, puis des mains qui me caressaient, elles étaient là toutes deux. Pendant que l'une s'occupait à me faire prendre une certaine vigueur, l'autre s'occupait de mes tétons, les pinçant parfois fortement. En peu de temps, elles avaient atteint leur but, je présentais une érection. Elles me lâchèrent, puis reprirent leur activité, alors qu'une bouche m'embrassait le bas du ventre, je sentis qu'une d'elles montait sur le lit et m'enjambait, remontant vers les épaules, elle vint s'asseoir sur ma bouche, me collant sa vulve sur mes lèvres. Je compris la demande et m'activai consciencieusement. Cela dura un moment, puis se bougeant, elle se retourna et se repositionna, mais cette fois, s'asseyant sur ma tête, elle m'étouffait parfois. Cela avait l'air de lui plaire.

L'autre en profita pour la rejoindre et s'empala très vite sur moi. Etant en face sur moi, l'une et l'autre atteignirent leur but. Mais cela ne suffit pas, elles changèrent de place et rapidement reprirent leurs actions. Je sentis dans ma bouche couler le sperme que je venais de déverser dans sa vulve et la léchais le mieux possible. Ce fut plus long, mais semble-t-il je les conduisit à un deuxième orgasme. Elles me laissèrent enfin et je m'endormis rapidement.

Des mains à nouveau se promenaient sur moi, s'évertuant à me donner une nouvelle vigueur. Non, je ne rêvais pas, l'insistance paye et je me trouvais en condition rapidement. Une bouche m'enveloppa alors et entreprit une fellation qui aboutit à une éjaculation. Des rires se firent entendre et on m'enleva la cagoule. Je découvris à mes cotés Noémie et Martine nues, et entre mes cuisses France, entièrement nue elle aussi, qui terminait son action.

  • C'est mieux que le réveil dit Martine ?

  • Oui dis-je.

Elles m'embrassèrent alors, l'une et l'autre d'un long baiser sur les lèvres.

  • Vous allez retrouver votre liberté, dit Noémie, la salle de bains vous appartient, nous prendrons le petit déjeuner ensemble. Il fait chaud ici, le déjeuner est naturiste.

Nous déjeunâmes de bon appétit, la conversation toujours très axée sur nos jeux, Martine et Noémie recherchaient de toute évidence une idée pour continuer. Il était encore de bonne heure, ce dimanche matin, et nous avions la journée devant nous. Quel sort nous réservaient-elles, nous ne le savions pas encore.

Martine se leva, prenant France par la main, elle l'amena au pied d'une des colonnes du salon, la faisant mettre de dos contre, elle lui lia les poignets derrière, ramenant les bouts de la corde devant, fit un nœud sur son ventre. Prenant ensuite un masque, elle lui ôta la vue, lui mit le casque sur les oreilles et finit par lui poser un bâillon boule, la privant de tout contact.

Noémie pendant qui avait quitté la pièce, revint avec une boite et une grande poche. Elle déballa le tout sur un coin de table, il y avait un paquet de bas et de collants, la boite contenait ses accessoires de couture. Elle dit :

  • Martine, tu te souviens de la revue parlant d'encasement ?

  • Oui dit-elle,

  • On va essayer, il y a tout ce qu'il faut.

J'étais nu devant-elles, Noémie me tendit un premier collant de mousse épais qu'elle me demanda de mettre, pendant ce temps, avec un ciseau elle pratiquait une ouverture au fond de la culotte d'un autre. Elle me le tendit, me faisant passer la tête dans la fente et mes bras dans chacune des jambes, Ensuite elle déplia le collant, faisant coïncider les deux bandes de la ceinture. Elle m'enfila enfin un bas de même texture sur la tête, me couvrant entièrement.

Pendant ce temps, Martine qui avait pris dans la boite à couture du cordonnet et une aiguille entreprit de faire des points de couture, attachant les éléments entre eux. Une fois fini, elles recommencèrent l'opération par une deuxième, une troisième et une quatrième épaisseur de collants, les derniers utilisés pour les troisièmes et quatrièmes couches étant opaques, j'étais " dans le noir " une fois de plus.

Je sentis qu'elles me mettaient les bracelets et le collier à nouveau, puis elles m'entraînèrent, chacune me tenant par la main. Je ne réalisai ou elles m'avait conduit que lorsque je sentis qu'elles m'attachaient, j'étais dans le placard, à la place qu'avait occupée France la nuit dernière. En quelques minutes, j'étais attaché en croix, parfaitement immobilisé.

Je les entendis partir, qu'allait-il se passer ensuite, je ne le savais pas. Je restai ainsi longuement, vraisemblablement, c'était ce qu'elles avaient décidé.

Je n'eus la réponse que bien plus tard, libérant France et ayant décidé qu'elle avait bien supporté sa punition, elles étaient parties toutes trois me laissant seul à la maison.

Elles avaient pris le temps de dîner au restaurant, et il était aux environs de vingt deux heures. France dit :

  • Il faut rentrer, Noémie, tu devrais libérer Marc.

Puis tout à coup :

  • Mais au fait, il n'a pas de vêtements ! Nous étions équipés pour venir, il n'a que les ballerines !

Martine éclata de rire, j'étais détaché mais encore " emballé " par les collants. Noémie dit alors :

  • France ce sera ton dernier gage du week-end, le challenge est de le ramener comme cela chez toi, tu le déballeras à la maison. Il n'est pas nu que je sache ? Disant cela elle m'attachait les poignets avec un cadenas, confiant la clé à France.

  • Il ne pourra pas s'échapper, fit-elle.

France essaya de trouver une excuse pour ne pas faire comme cela, mais les filles se montrèrent inflexibles. Elles me conduisirent à la voiture et m'installèrent sur le siège, bouclant ma ceinture. J'entendis Noémie dire :

  • Il fait nuit à cette heure-ci, tu ne risques pas grand chose.

France démarra, et conduisit sans un mot jusqu'à son garage. Arrivés elle me dit de ne pas faire de bruit, qu'elle allait voir s'il n'y avait personne. Ensuite elle me fit sortir de la voiture et me poussa dans l'ascenseur, quelques secondes plus tard, il s'arrêtait, nous étions passés inaperçus, et poussions un ouf de soulagement.

Nous étions soulagés, mais excités par l'expérience quand même. France me tira alors par les menottes et me fit basculer sur un lit, elle m'avait amené dans sa chambre.

-Tu ne travailles pas demain dit-elle, alors je te garde cette nuit

Tout en parlant, elle avait tiré mes mains au-dessus de ma tête et les attachait à la tête du lit, puis à l'aide d'une autre corde, écarta mes pieds et lia mes chevilles je pense aux montants, m'écartelant.

J'étais prisonnier à nouveau, mais ce coup-ci de France. Elle se coucha sur moi, entreprit de me caresser et de me pincer par dessus des collants. En quelques secondes, le résultat était visible, une érection soulevait les collants. Elle gloussa et se concentra sur ma verge.

  • Attends un peu dit-elle, se levant.

Je compris, sa manœuvre, elle avait pris un ciseau et faisait une ouverture, libérant ma verge qu'elle saisit, et s'empala sur elle aussitôt. Une chevauchée s'en suivit, et elle s'écroula sur moi, ronronna un moment et puis le rythme de son souffle se fit régulier, elle dormait. J'étais parti pour passer une nouvelle nuit attaché.

Quel week-end !

bondagetrav

Très beau récit, j'aurais aimé être à ça place...!
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